Gérald Grégoire, Deux-Sèvres

GERALD GRÉGOIRE

40 ans

Communication

Deux-Sèvres

Gérald Grégoire, Deux-Sèvres

GERALD GRÉGOIRE

40 ans

Communication

Deux-Sèvres

Gérald Grégoire, Deux-Sèvres

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Deux-Sèvres

Gérald Grégoire, Deux-Sèvres

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Gérald Grégoire, Deux-Sèvres

GERALD GRÉGOIRE

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Deux-Sèvres

L'avis du jury

Les abeilles à l’honneur

Gérald Grégoire est apiculteur professionnel depuis deux ans. Afin de faire découvrir son métier et de sensibiliser le grand public à la préservation des abeilles, il a créé une page Facebook où il explique son métier au quotidien. Par ailleurs, il organise des visites de groupe pour échanger avec le grand public. 

REPÈRES

• Installé en novembre 2016

• Activité apicole : 

- 250 ruches en production

- 100 essaims 

• 1 UTH

 

 

SON PARCOURS

Il y a sept ans, Gérald Grégoire a hérité d'une dizaine de ruches peuplées puis récupère des essaims chez des particuliers. "Je suis tout d’abord passé par le rucher école près de chez moi. Ensuite, via un congé individuel de formation, j’ai repris le chemin de l’école pour y apprendre le métier et passer un brevet professionnel de responsable d’exploitation apicole de niveau bac, que j’ai obtenu en 2016." En 2017 il quitte son emploi d’électricien en véhicules industriels pour se lancer dans l’aventure à 100%. "Je favorise la biodiversité locale sans transhumance dans d’autres départements en utilisant principalement l'abeille noire locale. Et, un maximum de ruchers se retrouvent dans un rayon de proximité pour limiter mon impact carbone."

SON PROJET

"Mon exploitation est petite, locale, raisonnée. Tant de valeurs que j'aime partager avec les gens. Faire voir au plus près qui on est, ce que l'on fait et comment on le fait, amène plus facilement les personnes à tester mes produits." Pour l'achat de sa miellerie, l’apiculteur a mobilisé la plateforme "J'adopte un projet" qui lui a permis par la suite de faire découvrir son exploitation et la vie de ses colonies. "J'ai reçu une douzaine de groupes de 4 à 6 personnes qui ont pu s'immerger dans la vie d'un apiculteur." Participer au concours était, pour lui, une façon de montrer le travail de communication qu’il effectue avec sa femme depuis deux ans sur les réseaux sociaux, à la fois sur FacebookInstagram et Youtube"Nous avons de très bons retours à chaque fois sur la communication et c’est quelque chose qui nous plaît !" 

SON RÉSULTAT

"Les réseaux sociaux m’offrent la possibilité de mettre des images et une histoire derrière les produits, de montrer mon visage, et je pense qu’il y a beaucoup de gens qui sont preneurs de ce partage et d’un visuel par rapport à la personne qui est derrière le produit. Ces moyens de communication touchent un public plus jeune qui n'aime pas forcément le miel mais qui, par curiosité, peut être amené à le déguster voire à l'apprécier." Pour Gérald Grégoire, avoir une page Facebook est important aujourd'hui pour mieux communiquer sur son exploitation et la réalité du métier. "Petit à petit, je multiplie les modes de communication : la presse, la télé, la radio et un site Internet. J'ai choisi de mobiliser ces outils de communication pour me faire connaître, valoriser mes produits, développer la biodiversité, sensibiliser le grand public. J'ai à cœur de diffuser le fonctionnement d'une colonie, de valoriser les produits de la ruche et leurs bienfaits."

SON RÊVE

L’apiculteur souhaite poursuivre le développement de son exploitation en améliorant son site Internet, en ouvrant une boutique en ligne, et tout en poursuivant ses interventions en ruchers écoles et en sensibilisant les enfants dans le milieu scolaire. 


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