LAURENT GAUTER

Laurent Gauter, Laurent Gauter, Laurent Gauter, Laurent Gauter, Laurent Gauter

REPÈRES

  • 39 ha (dont 6 ha de verger : poiriers et pommiers).
  • Chiffre d’affaires annuel de 290 000 euros.
  • 1 salarié à temps complet et 1 salarié à 80 %, 7 saisonniers.
  • Commercialisation des fruits : 90 % en vente directe (50 % en magasin, 40 % sur les marchés régionaux) et 10 % auprès de clients professionnels.

 

À CONTRE-COURANT

Le parcours de Laurent est original : après s’être essayé à différents corps de métier, il décide de reprendre une exploitation bretonne et d’en valoriser la production fruitière… dans une région non productrice ! Le meilleur moyen de valoriser cet atypisme réside certainement dans la vente directe qui lui permet d’écouler la majorité de sa production sur du marché local.
 

JOACHIM GAIGNON

Gaignon, Gaignon, Gaignon, Gaignon, Gaignon

REPÈRES

  • 26 hectares.
  • Chiffre d’affaires entre 350 000 et 460 000 euros.
  • 2 salariés permanents et entre 30 et 40 saisonniers, soit 6 équivalents temps plein.

 

LA SÉCURITÉ !

Jeune producteur très technique, Joachim sait également se poser les bonnes questions : il se diversifie (rhubarbe, kiwi, myrtille) pour répartir au maximum les risques et choisit de produire une variété Club, afin de s’inscrire dans un marché de niche très protégé. On peut dire qu’il joue la sécurité avec malice !
 

JULIEN ROCQUAIN

Julien Rocquain, Julien Rocquain, Julien Rocquain, Julien Rocquain, Julien Rocquain

REPÈRES

  • 8 ha de vergers, production pommes et poires.
  • Installé le 17 mars 2011.
  • Chiffre d’affaires 2010 : 150 000 euros.
  • Mode de commercialisation : approvisionnement des jardineries de la région (95 %) et vente au détail sur l’exploitation (5 %).

 

UN CHOIX DE VIE À DEUX

Julien a l’atout de sa jeunesse. Plein de tonus et de vivacité, il apprécie quand même à sa juste mesure la difficulté de la voie qu’il a choisie. La filière a besoin de jeunes comme lui, qui continuent à envisager l’arboriculture non plus comme un métier mais comme un véritable choix de vie. En s’installant avec sa femme, il assoit définitivement son projet et acquiert davantage de confiance dans l’avenir. C’est un jeune actuel et pourtant ancré dans son terroir : tous les atouts de l’agriculture de demain !
 

EMMANUEL AZE

Emmanuel Aze, Emmanuel Aze, Emmanuel Aze, Emmanuel Aze, Emmanuel Aze

REPÈRES

  • 13,5 ha de fruits d’été parmi lesquels des pêches et nectarines (6,5 ha), des abricots (1,7 ha) et des cerises (1,4 ha).
  • La production totale est estimée à 90 tonnes en 2011.

 

DE L'AUDACE !

Le projet d’Emmanuel est une belle aventure humaine venue prouver que, sur le plan économique, il existe encore des alternatives à creuser dans des schémas d’un genre nouveau ! Ce projet audacieux, conduit avec humilité , a poussé Emmanuel à canaliser ses investissements à la restructuration de son verger, sans s’endetter outre mesure. Le choix technique de la diversité des productions adaptées à son mode de commercialisation assoit progressivement la rentabilité de sa structure. Il a réussi à s’affranchir du risque prix en faisant le choix de la qualité et de la vente directe.
 

MATHIEU CHALEAT

Mathieu Chaleat, Mathieu Chaleat, Mathieu Chaleat, Mathieu Chaleat, Mathieu Chaleat

REPÈRES

  • 41 hectares de fraises, cerises, pêches, abricots, poires, pommes, tomates conserve et, accessoirement, quelques céréales en rotation de culture.
  • Chiffre d’affaires 2010 : 370 000 euros.
  • Commercialisation : 95 % de la production via Rhoda Coop, 5 % en vente directe via un petit stand au bord de la RN 7.

 

UNE AGRICULTURE DE PRÉCISION

Malgré la difficulté du parcellaire, Mathieu est la preuve qu’il est possible de réaliser une agriculture de précision et de haute technicité. Toujours à la pointe de la technique, c’est en gérant au maximum ses ressources que Mathieu peut limiter ses coûts de production et tendre vers toujours plus de productivité. Séparer les tâches de production et de commercialisation, c’est se donner l’occasion de maîtriser au maximum l’un des deux postes.
 

THIBAULT ALLEAUME

Thibault Alleaume, Thibault Alleaume, Thibault Alleaume, Thibault Alleaume, Thibault Alleaume

REPÈRES

  • 15 ha de pommes, poires et framboises.
  • La 100 000e carafe de "Pomme prisonnière" vendue en 2010 !
  • CA 2009 : 374 026 euros.
  • Commercialisation : grossiste (45 %), vente directe (15 %), magasin spécialisé (10 %) et GMS (30 %).

 

ACTUALISER LA TRADITION.

Thibault produit des pommes à couteau dans une région cidricole : une position atypique et innovante qui va tout à fait dans le sens de son projet. Avec la pomme prisonnière, il a su rester dans son terroir et développer un marché de niche. Il respecte la tradition et la transmission d’un savoir-faire qu’il réactualise et adapte aux technologies modernes. Bientôt certifié Iso 14001, il sait où il va !

 

OLIVIER MARCHESSEAU

Olivier Marchesseau, Olivier Marchesseau, Olivier Marchesseau, Olivier Marchesseau, Olivier Marchesseau

REPÈRES

  • 53 hectares de vergers de pommes
  • Installé depuis 2009
  • 1,7 million d’euros de chiffres d’affaires
  • 3 000 tonnes de pommes sur 12 variétés expédiées directement depuis l’exploitation
  • 7 salariés permanents et 35 équivalents temps plein. 85 saisonniers pour la récolte et 40 pour l’éclaircissage.

 

IL SAIT GÉRER LA RESSOURCE HUMAINE. 

Olivier a fait le pari stratégique de considérer que l’avenir de son exploitation passe par la formation du personnel. Il place son équipe au cœur de sa démarche d’entrepreneur : en formant ses salariés, il s’assure de maintenir leur performance technique au top. En les responsabilisant, il les rend acteurs de la réussite de l’entreprise. L’arboriculture est très pourvoyeuse de main-d’œuvre, et la gestion saine de cette ressource est un atout indéniable.
 

LUC FOUQUET

Luc Fouquet, Luc Fouquet, Luc Fouquet, Luc Fouquet, Luc Fouquet

REPÈRES

  • 38 ha de pommes et de poires, dont 4 ha en conversion bio.
  • CA 2010 : 1 million d’euros.
  • Objectif 2011 : 1,2 million d’euros.
  • Commercialisation : GMS (70 %), grossistes et primeurs haut de gamme (25 %), vente directe, Internet, cantines scolaires, collèges (5 %).

 

VIVE LE HAUT DE GAMME.

Luc Fouquet est de ceux dont le parcours et l’expérience antérieurs à son installation apportent du dynamisme et du renouveau à la filière fruits. En valorisant l’IGP Savoie au maximum, il a fait le choix de se positionner sur du haut de gamme et de communiquer activement sur une origine. Ce choix est bon : la pomme française, à l’avenir, mettra de plus en plus en avant ce type d’atouts. Il s’essaie également au e-commerce, une démarche à n'en pas douter porteuse d’avenir !
 

ALEXIS FAUCON

Alexis Faucon, Alexis Faucon, Alexis Faucon, Alexis Faucon, Alexis Faucon

REPÈRES

  • 8 hectares de pommes vendues à la coopérative.
  • 1 hectare destiné à la vente directe : pommes, cerises, pêches, abricots, nectarines, raisin de table, coings, fraises, framboises, cassis, groseilles, maraîchage.
  • Production de jus de pomme et pomme-framboise.

 

DES AS DE LA VENTE DIRECTE !

Le départ à la retraite d’un cédant a permis l’installation de deux jeunes ! Une situation plutôt exceptionnelle pour une installation en binôme qui se pose comme un véritable choix de vie pour Alexis : il est motivé et apporte un regard neuf et débarrassé des automatismes typiquement agricoles. C’est ainsi avec beaucoup de recul et un sens commercial aiguisé que les deux associés ont réfléchi à la mise en place d’une gamme raisonnée et ont envisagé de transformer une partie de leur production : des as de la vente directe !

 

JULIE CIPRIANO

Julie Cipriano, Julie Cipriano, Julie Cipriano, Julie Cipriano, Julie Cipriano

REPÈRES

  • 15 ha de pommes.
  • 5 ha de pêches et nectarines.
  • Commercialisation en commun
  • avec son père Louis qui exploite 20 ha de pommes,
  • poires, abricots et prunes.
  • La vente directe sur l’exploitation et sur les marchés devrait atteindre les 10 % en 2011.
  • Chiffre d’affaires : 109 535 euros.

 

DE L'INTÉRÊT DE CRÉER DU LIEN. 

Julie sait écouter le client et fournir l’effort technique qui sera en mesure de le satisfaire. Elle peaufine le lien qui existe entre le produit qu’elle fabrique et le consommateur potentiel. En renouvelant son verger de manière régulière, elle s’assure une bonne place parmi les leaders qui savent être productifs tout en proposant de la qualité. Certifiés Globalgap, ses vergers sont conduits en PFI et elle aime expliquer son travail dans le verger, pour toujours renforcer ce lien qui l’unit aux consommateurs.

Pages