MATHIEU CHALEAT

Mathieu Chaleat, Mathieu Chaleat, Mathieu Chaleat, Mathieu Chaleat, Mathieu Chaleat

REPÈRES

  • 41 hectares de fraises, cerises, pêches, abricots, poires, pommes, tomates conserve et, accessoirement, quelques céréales en rotation de culture.
  • Chiffre d’affaires 2010 : 370 000 euros.
  • Commercialisation : 95 % de la production via Rhoda Coop, 5 % en vente directe via un petit stand au bord de la RN 7.

 

UNE AGRICULTURE DE PRÉCISION

Malgré la difficulté du parcellaire, Mathieu est la preuve qu’il est possible de réaliser une agriculture de précision et de haute technicité. Toujours à la pointe de la technique, c’est en gérant au maximum ses ressources que Mathieu peut limiter ses coûts de production et tendre vers toujours plus de productivité. Séparer les tâches de production et de commercialisation, c’est se donner l’occasion de maîtriser au maximum l’un des deux postes.
 

ANTOINE WILLEFERT

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Repères
 

• Installé en février 2008 sur 150 ha
• Production : 75 ha de céréales, 30 ha de pommes de terre, 15 ha de betteraves sucrières, 20 ha d’endives (racines), 10 ha d’épinards et de haricots verts, 0,50 ha de miscanthus et 1 000 m² de rhubarbe.

Le périurbain comme avantage

Le dossier d’Antoine Willefert présente une innovation qui se traduit par des chiffres bien réels : 20% des ventes sont effectuées via un circuit court, matérialisé en un point de vente créé de toutes pièces avec des associés, La cahute fermière. Ou l’art de transformer ce qui aurait pu être une difficulté (la proximité d’une zone périurbaine), en avantage !

 

JÉRÉMIE DEBAIRE

Jeremie Debaire, Jeremie Debaire, Jeremie Debaire, Jeremie Debaire, Jeremie Debaire

Repères
 

• Installé depuis : décembre 2010
• Production : 195 ha. 30 ha de pommes de terre, 27 ha de betteraves à sucre et 29 ha de luzerne. L’exploitation produit aussi du blé, de l’orge de printemps et du colza.

À la pointe !

Ouvert d’esprit, Jérémie Debaire a une exploitation qui lui ressemble. À la pointe, il utilise son smartphone pour enregistrer 'en live' les interventions culturales dans son logiciel de traçabilité. Connecté, il l’est aussi avec les réalités agronomiques et n’hésite pas à expérimenter pour mieux respecter la structure et la biodiversité du sol.